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Mobilisations pour les trains de nuit
Mobilisations pour les trains de nuit
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Nombre d'articles : 646
 
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21 septembre 2018

La ministre des Transports Elisabeth Borne se rendra à l'Argentière en train de nuit ce samedi

La ministre des Transports Elisabeth Borne se rendra à l'Argentière en train de nuit ce samedi

Elisabeth Borne, la ministre des Transports, va faire le voyage entre Paris et l'Argentière en train de nuit. C'est ce qu'annonce ce vendredi Joël Giraud, député des Hautes-Alpes, qui l'avait encouragé en ce sens : " Venez donc en train de nuit, un voyage dans le Paris-Briançon est mieux que le descriptif du confort des TET de nuit ", avait-il lancé.
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sur www.ledauphine.com et sur www.laprovence.com

 

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17 septembre 2018

Hautes-Alpes : le Paris-Briançon sous giron autrichien ? J. Giraud rencontre le patron d'ÖBB

Hautes-Alpes : le Paris-Briançon sous giron autrichien ? J. Giraud rencontre le patron d'ÖBB

TRANSPORT / Une rencontre pour tester "l'intérêt au marché français" de l'entreprise qui gère déjà plusieurs trains de nuit en Europe
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sur alpesdusud.alpes1.com

 

17 septembre 2018

Joël Giraud rencontre à Wien le patron des chemins de fer autrichiens

Joël Giraud rencontre à Wien le patron des chemins de fer autrichiens, organisateur des lignes de nuit qui sillonnent déjà toute l'Europe sauf la France ⋆ Le blog de joël giraud

Que ce soit pour faire pression sur la SNCF, à quelques jours de la visite de la Ministre des Transports, pour que les voitures antédiluviennes du train de nuit Paris-Briançon soient rénovées, ou qu'il s'agisse de proposer une nouvelle offre globale en France de trains de nuit de qualité, toujours
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sur joelgirauddepute.fr

 

14 août 2018

Question écrite du député Éric Alauzet sur les liaisons transversales

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia
M. Éric Alauzet attire l'attention de Mme la ministre, auprès du ministre d'État, ministre de la transition écologique et solidaire, chargée des transports, sur le potentiel des trains intercités de nuits transversaux. Il faut d'abord saluer le Gouvernement pour la priorité accordée à la régénération du réseau ferroviaire classique. Les travaux du Conseil d'orientation des infrastructures (COI) confirment que la construction de nouvelles LGV ne pourra se réaliser sur toutes les liaisons. Dans ces conditions, l'offre longue distance gagnera à redonner de l'importance aux trains intercités de jour et de nuit. Par ailleurs, les cercles de décision, souvent très centrés sur Paris, ont focalisé les investissements sur les lignes radiales. Pourtant, 81% des Français habitent hors Île-de-France et ils ont besoin de se déplacer dans toutes les directions. Lors des déplacements transversaux, les temps de trajets en train ont tendance à être longs. Par exemple, depuis Besançon, il faut presque 7 heures pour rejoindre Nice, Toulouse ou Brest et plus de 8 heures pour Pau ou Tarbes. Ce sont les meilleurs temps disponibles. Dans la pratique, les temps réels sont souvent supérieurs du fait des correspondances. De plus, Besançon et d'autres villes ou territoires n'ont pas d'aéroport. L'autocar est peu confortable pour des distances de 600 à 1 000 km. Il est lent, avec une vitesse moyenne autour de 75 km/h pour de telles distances. Le train de nuit serait donc idéal pour se rendre dans les villes éloignées. Besançon n'est donc pas un cas isolé et les villes moyennes éloignées sont, de fait, déconnectées les unes des autres, plus particulièrement vers le sud de l'Hexagone, plus montagneux et peu desservi en LGV. La SNCF estime que les liaisons transversales bénéficient de moins de voyageurs car les bassins de population y sont plus faibles. Et pourtant, les chiffres disponibles jusqu'en 2016 semblent montrer que les recettes et la fréquentation des trains de nuit transversaux sont au même niveau que les radiaux. Le train de nuit y prend une part de marché plus importante car il y a peu de dessertes aériennes ou LGV compétitives pour ces déplacements. Il a été avancé que les trains de nuit sont déficitaires. Mais le « déficit » provient en partie de la qualité insuffisante, voire mauvaise, de service. Point intrigant à relever : des opérateurs étrangers considèrent que le train de nuit peut s'autofinancer. Une réflexion de fond semble nécessaire. Aussi, il lui demande si le Gouvernement pourrait envisager une remise à plat de ce sujet et une étude comparative, incluant les externalités environnementales, des différents scénarios pour relier les villes moyennes éloignées entre elles, par l'aviation, le train de nuit ou la construction de LGV.
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sur questions.assemblee-nationale.fr

 

15 mai 2018

Hautes-Alpes : l'Autriche parie sur le train de nuit en Europe et peut-être sur le Paris-Briançon ?

Hautes-Alpes : l'Autriche parie sur le train de nuit en Europe et peut-être sur le Paris-Briançon ?

TRANSPORT / Et si le train de nuit Paris-Briançon passait sous pavillon autrichien avec l'opérateur public ÖBB ? Une perspective pour l'opérateur et un espoir de sauver la ligne pour Joël Giraud.
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sur alpesdusud.alpes1.com

 

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15 mai 2018

Le train de nuit Paris-Briançon bientôt autrichien ?

Le train de nuit Paris-Briançon bientôt autrichien ?

Soucieux de l'avenir du train de nuit Paris-Briançon, le député haut-alpin, Joël Giraud s'interroge sur une éventuelle reprise du marché par l'opérateur public autrichien, ÖBB. "Il a fait jouer la concurrence et s'est imposé partout depuis 2017...
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sur www.ledauphine.com

 

10 avril 2018

Question écrite du député Loïc Prud'homme

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia
M. Loïc Prud'homme attire l'attention de Mme la ministre, auprès du ministre d'État, ministre de la transition écologique et solidaire, chargée des transports, sur un mode de transport révolutionnaire combinant des caractéristiques à la fois écologiques, d'accessibilité tarifaire et d'aménagement du territoire : les trains de nuit. Le Gouvernement s'est engagé sur l'abandon des projets d'infrastructures les plus coûteux au profit de l'entretien des réseaux déjà existants et sur la promotion des mobilités douces. Les trains de nuit remplissent toutes les conditions pour être à l'avant-garde de cette politique des transports du 21ème siècle. Peu onéreux pour l'opérateur, ils permettent de valoriser le réseau classique aux heures où celui-ci est peu utilisé. Plébiscités par les usagers, ils assurent des liaisons transversales à un tarif avantageux sans le coûteux détour par Paris. Les élus locaux soulignent leur absolue nécessité pour un maillage fin du territoire, permettant de desservir de petites et moyennes villes où le TGV ne prend plus le temps de s'arrêter. Or les trains de nuit font l'objet depuis plusieurs années d'un plan minutieux pour orchestrer leur suppression. Le président de la SNCF en parle déjà au passé et argue de leur faible taux de remplissage et de leur coût pour justifier leur disparition. Ces chiffres sont démentis par des taux de remplissages élevés sur les deux dernières lignes encore en service et par un rapport de la Cour des comptes qui souligne la très faible subvention des trains de nuits. Le financement pendant un siècle des lignes de train de nuit encore en service en France, serait moins coûteux que le seul financement de projet de LGV Bordeaux-Toulouse-Dax, chiffré à 9 milliards. La disparition complète des trains de nuit serait ainsi une catastrophe écologique car elle induirait un report modal des voyageurs vers l'avion et la route et conduirait à renforcer cette image d'une France à deux vitesses entre les grandes métropoles hyper-connectées et les autres territoires délaissés. Il lui demande donc quelles mesures son ministère compte prendre sans délai pour stopper la stratégie de démantèlement de la SNCF et pour donner aux trains de nuit la place qu'ils doivent occuper dans le cadre d'une politique des transports écologique et territorialisée.
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Réponse du 31/7/18 :
Le précédent Gouvernement a pris la décision de fermer un certain nombre de lignes de nuit : Paris-Savoie, Strasbourg/Luxembourg-Perpignan/Nice et Paris-Cerbère fin 2016, Paris-Tarbes-Hendaye le 1er juillet 2017 et Paris-Nice le 8 décembre 2017. Ces décisions découlent des orientations de la commission « TET d'avenir » qui, en 2015, a mis en évidence dans son rapport que les trains de nuit ne répondaient plus de manière satisfaisante aux besoins des voyageurs et que leur modèle économique n'était plus viable. Ainsi, la commission « TET d'avenir » a constaté qu'avant 2015, les trains TET de nuit représentaient environ 25 % du déficit d'exploitation des TET alors qu'ils ne transportaient que 3 % des voyageurs, pour un subventionnement de 100 € en moyenne par billet vendu. Les lignes TET de nuit étaient ainsi subventionnées à hauteur d'environ 55 %, contre seulement 33 % pour les lignes TET de jour aujourd'hui. À la réception de ce rapport, le Gouvernement précédent a proposé au travers d'un appel à manifestation d'intérêt la reprise de ces lignes par des opérateurs alternatifs ou des collectivités territoriales. Aucun opérateur ni aucune collectivité ne s'est porté candidat. Par conséquent, l'État a décidé de ne conserver que les lignes de nuit Paris-Briançon, Paris-Rodez et Paris–Latour-de-Carol qui répondent à de forts enjeux d'aménagement du territoire en raison de l'absence d'une offre de transport alternative suffisante pour les territoires concernés. Ces deux lignes sont aujourd'hui exploitées à raison d'un aller-retour quotidien dans le cadre de la convention d'exploitation des TET couvrant la période 2016-2020. À noter que le taux de subventionnement de ces deux lignes est d'environ 58 % en 2017. Enfin, il convient de noter qu'après accord entre l'État et la région Occitanie, intervenu début mai 2017, il a été décidé de remettre en service la branche Toulouse-Cerbère/Port-Bou de la ligne de nuit Paris–Latour-de-Carol pour 2 ans à compter de juillet 2017. Les coûts d'exploitation en sont partagés entre l'État et la région. L'État démontre ainsi qu'il n'est fermé à aucune proposition qui permettrait de réaliser durablement un service de train de nuit de qualité.
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sur questions.assemblee-nationale.fr

 

6 avril 2018

"Quelle est la différence entre un jour avec grève et un jour sans grève pour le train de nuit Paris-Briançon? "

Hautes-Alpes : "quelle est la différence entre un jour avec grève et un jour sans grève pour le train de nuit Paris-Briançon? ", J.Giraud

POLITIQUE / En plein conflit entre les cheminots de la SNCF et le gouvernement, le député (LREM) des Hautes-Alpes et rapporteur général du budget, Joël Giraud, ironise sur le sort de la ligne Paris-Briançon.
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sur alpesdusud.alpes1.com

 

20 mars 2018

Question écrite du député Matthieu Orphelin sur l'avenir des trains de nuit

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia
Question écrite du député Matthieu Orphelin sur l'avenir des trains de nuit (posée le 20/3/18)

M. Matthieu Orphelin attire l'attention de Mme la ministre, auprès du ministre d'État, ministre de la transition écologique et solidaire, chargée des transports, sur la nécessité de réétudier le potentiel des trains de nuit, dans le cadre de la réflexion en cours pour définir la politique des transports des prochaines décennies. Depuis les années 2000, le nombre de lignes de train de nuit en France est en forte régression et ce démantèlement s'est accéléré depuis 2016, il ne reste plus que deux lignes de trains de nuit actives en France aujourd'hui. Afin de lutter contre la croissance de l'avion pour les déplacements intérieurs en France métropolitaine (le volume annuel de vols intérieurs représente 25 millions de passagers, en croissance de 7 % en 2016 principalement grâce aux vols des compagnies low cost), le train de nuit constitue une alternative écologique et présente un gisement important de report modal. Il offre également une solution au désenclavement de certains territoires ruraux ou montagneux par un maillage fin du territoire grâce à un grand nombre d'arrêts. Des exemples européens montrent que le train de nuit peut être pertinent économiquement. Par exemple, l'Autriche a repris une partie des trains de nuit que la compagnie allemande DB avait abandonnés en 2016 et déploie un réseau de trains de nuit en Europe centrale, de Hambourg jusqu'à Rome. Le bilan économique est très positif, avec une augmentation rapide de la fréquentation (1,4 million de passagers en 2017) et l'obtention de bénéfices dès la première année. Aussi, il souhaite souligner au Gouvernement que le train de nuit est une solution de désenclavement de certains territoires excentrés et une solution de mobilité bas-carbone à ne pas négliger, dans le respect des engagements de l'accord de Paris et du plan climat du Gouvernement. Il lui demande quelle est sa position sur cette question.
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Réponse le 31/7/18 :
Le précédent Gouvernement a pris la décision de fermer un certain nombre de lignes de nuit : Paris-Savoie, Strasbourg/Luxembourg-Perpignan/Nice et Paris-Cerbère fin 2016, Paris-Tarbes-Hendaye le 1er juillet 2017 et Paris-Nice le 8 décembre 2017. Ces décisions découlent des orientations de la commission « TET d'avenir » qui, en 2015, a mis en évidence que les trains de nuit ne répondaient plus de manière satisfaisante aux besoins des voyageurs et que leur modèle économique n'était plus viable. À la réception de ce rapport, le Gouvernement précédent a proposé au travers d'un appel à manifestation d'intérêt la reprise de ces lignes par des opérateurs alternatifs ou des collectivités territoriales. Aucun opérateur ni aucune collectivité ne s'est porté candidat. Par conséquent, l'État a décidé de ne conserver que les lignes de nuit Paris-Briançon, Paris-Rodez et Paris – Latour-de-Carol qui répondent à de forts enjeux d'aménagement du territoire en raison de l'absence d'une offre de transport alternative suffisante pour les territoires concernés. Ces deux lignes sont aujourd'hui exploitées à raison d'un aller-retour quotidien dans le cadre de la convention d'exploitation des trains d'équilibre du territoire couvrant la période 2016-2020. Enfin, il convient de noter qu'après accord entre l'État et la région Occitanie, intervenu début mai 2017, il a été décidé de remettre en service la branche Toulouse-Cerbère/Port-Bou de la ligne de nuit Paris – Latour-de-Carol pour 2 ans à compter de juillet 2017. Les coûts d'exploitation en sont partagés entre l'État et la région. L'État démontre ainsi qu'il n'est fermé à aucune proposition qui permettrait de réaliser durablement un service de train de nuit de qualité. Malgré l'échec de l'appel à manifestation d'intérêt lancé par le précédent Gouvernement, l'ouverture à la concurrence prévue par la loi pour un nouveau pacte ferroviaire permettra de susciter des offres innovantes portées par de nouveaux acteurs.
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sur questions.assemblee-nationale.fr

 

19 février 2018

Pour le député Joël Giraud, la SNCF " sabote " le train de nuit

Pour le député Joël Giraud, la SNCF " sabote " le train de nuit

La SNCF veut-elle la mort du train de nuit ? Depuis plusieurs années, les élus ou les voyageurs sont nombreux à dénoncer la commercialisation du Paris-Briançon, souvent très tardive au moment des vacances. Au point d'envisager que cette dégradation de la vente et donc du remplissage du train de nuit n'a pour autre but que de le vider de ses passagers et d'augurer de sa disparition.
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sur www.ledauphine.com

 

17 février 2018

La ministre Elisabeth Borne parle des trains de nuit

"La vraie casse du service public, c’est quand on laisse se dégrader la qualité du service dans les trains de nuit jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de voyageurs et qu’on arrête ces trains."

Trois jours après la publication du décapant rapport Spinetta, la ministre des Transports Elisabeth Borne revient sur ce texte qui préconise de profondes réformes de la SNCF : "Il pose un diagnostic, sévère mais malheureusement très juste. Ce qui est dit sur les difficultés de notre service public ferroviaire est largement partagé.

sur www.lejdd.fr

 

9 février 2018

Tarbes - Le Parlement Européen réfléchit à la relance des trains de nuit

Tarbes - Le Parlement Européen réfléchit à la relance des trains de nuit

Atelier sur "le futur rôle des trains de nuit" au Parlement Européen le 30 janvier 2018 " Nous n'arriverons pas à réduire la pollution du transport aérien en Europe sans un réseau de trains de nuit attractif ". C'est par ces mots que Poul Kattler - du mouvement " back-on-track " - a ouvert l'atelier sur le " futur rôle...
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sur www.lasemainedespyrenees.fr

 

6 février 2018

Question écrite de la députée Florence Lasserre-David

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia
Mme Florence Lasserre-David attire l'attention de Mme la ministre, auprès du ministre d'État, ministre de la transition écologique et solidaire, chargée des transports, sur l'absence d'évaluation en termes de voyageurs par kilomètre sur les lignes Intercités de nuit (ICN), dont la ligne Paris-Hendaye appelée « la Palombe bleue ». S'appuyant sur les conclusions de rapport de Philippe Duron, le gouvernement précédent a expliqué que le modèle économique des trains de nuit n'était plus viable dès lors que le déficit de ces lignes « représente environ 25 % du déficit de l'ensemble des lignes [des trains d'équilibre du territoire] alors même qu'elles ne représentent que 3 % des voyages ». Or si le nombre de voyageurs par kilomètre a été produit pour les Intercités de jour, les chiffres concernant les Intercités de nuit (nombre de trains par ligne, nombre de places offertes, taux d'occupation,...) n'ont pas été rendus publics. Il est, dès lors, impossible d'affirmer avec certitude que le déficit des lignes Intercités est imputable à la faible fréquentation de trains de nuit. Si l'on en croit certaines études menées par la société civile, il semblerait même que les Intercités de nuit nécessiteraient des subventions moindre par voyageur et par kilomètre, que les Intercités de jour et les TER. D'autre part, poussés en ce sens par les premiers retours d'expérience très positifs en provenance de Suède et d'Autriche, certains opérateurs pourraient être tentés de relancer ces lignes Intercités de nuit. Afin d'avoir les chiffres exacts de la fréquentation des Intercités de nuit, dont la Palombe bleue, et d'encourager d'éventuels repreneurs, elle lui demande de bien vouloir publier pour chaque ligne Intercité de jour comme de nuit, et pour chaque année comprise dans la période 2000-2017, le nombre de voyageurs par kilomètre, ainsi que le montant des subventions attribuées.
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Réponse du 14/8/18 :
S'appuyant sur les travaux documentés de la commission « TET d'avenir » composée de parlementaires de différentes sensibilités et présidée par le député Philippe Duron, le Gouvernement précédent est arrivé en 2015 à la conclusion que l'offre TET de nuit ne répondait plus de manière satisfaisante aux besoins des voyageurs et que son modèle n'était plus économiquement viable pour le budget de l'État. Ces lignes représentaient en effet 25 % du déficit des TET, alors qu'elles ne correspondaient qu'à 3 % des voyageurs transportés, pour un subventionnement public de plus de 100 € en moyenne par billet vendu. Les lignes TET de nuit étaient ainsi subventionnées à hauteur d'environ 55 %, contre seulement 33 % pour les lignes TET de jour aujourd'hui. À titre indicatif, la ligne de nuit Paris-Hendaye était, quant à elle, subventionnée à hauteur de 47 % en 2015 et de 56 % en 2016, pour des déficits de 5,8 M€ et de 6,2 M€ et une fréquentation de 102,8 millions de voyageurs-km et de 84,7 millions de voyageurs-km respectivement sur ces deux années. Aussi, le Gouvernement a décidé en 2015 de la suppression progressive de ces lignes, dont faisait partie la « Palombe bleue », et de ne conserver que les deux lignes de nuit Paris-Briançon et Paris-Rodez / Latour de Carol qui répondent à des enjeux forts d'aménagement du territoire du fait notamment de l'absence d'alternatives de transport. Pour les autres lignes, l'État a lancé en avril 2016 un appel à manifestation d'intérêt (AMI) afin de permettre à tous les opérateurs ferroviaires de proposer, pour leur propre compte, de nouveaux schémas d'exploitation innovants. Les données nécessaires à l'appréciation de l'équilibre économique de ces lignes ont, à cette occasion, été communiquées aux opérateurs intéressés. De la même façon, les collectivités territoriales ont elles aussi été invitées à participer à cet appel à manifestation d'intérêt en proposant un financement de ces lignes eu égard aux avantages économiques qu'elles procurent aux territoires desservis. Aucun opérateur ou aucune collectivité ne se sont portés candidats. Dans ce contexte, il a été décidé de ne pas maintenir les dessertes de nuit concernées. Le Gouvernement reste cependant toujours à l'écoute de toute offre de reprise. Il est à noter que la région Occitanie a proposé au printemps 2017 au Gouvernement d'ouvrir à nouveau la desserte de nuit Toulouse-Cerbère-Port Bou en participant financièrement à son exploitation. Un accord entre l'État et la région a été trouvé et la desserte, qui était fermée depuis le 10 décembre 2016, est à nouveau en service depuis le 6 juillet 2017 pour une durée de deux ans. Le service est assuré les vendredis, dimanches et durant les vacances scolaires de la zone C. Il convient enfin de préciser que les principales données relatives à l'exploitation des lignes TET figurent dans les rapports annuels d'exécution de la convention d'exploitation des TET publiés sur le site internet du ministère de la transition écologique et solidaire.
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sur questions.assemblee-nationale.fr

 

31 janvier 2018

Conférence sur l'avenir des trains de nuit à Bruxelles : de nouvelles lignes et une réservation simplifiée

Nachtzugkonferenz: Bessere Ticketbuchung und neue Verbindungen

In Brüssel diskutierten Experten über die Zukunft der Nachtzüge in Europa. Erste Ergebnisse: Die ÖBB Nightjet werden auch weiterhin direkt bei der Deutschen Bahn buchbar sein. Und ab 2020 könnten sogar Nachtzüge eines ganz neuen Betreibers durch Europa fahren. Mehr zur Nachtzugkonferenz in Brüssel erfährst du in diesem Beitrag.
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sur www.zugreiseblog.de

 

18 janvier 2018

La députée Huguette Tiégna réagit à la circulation limitée des trains dans le nord du Lot

La députée Huguette Tiégna réagit à la circulation limitée des trains dans le nord du Lot

Depuis le mois de novembre, des perturbations sur la ligne SNCF Paris-Rodez, traversant le nord du Lot limitent la circulation du train de nuit. Huguette Tiégna, députée du Lot, se mobilise pour le maintien de ce service " essentiel pour un...
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sur www.ladepeche.fr

 

17 janvier 2018

Courrier du député Joel Giraud à la ministre des transports Élisabeth Borne sur le renouvellement des voitures couchettes

2018-01-17-Joel-Giraud1

2018-01-17-Joel-Giraud2

17 janvier 2018

Trains de nuit : motion du conseil municipal

Trains de nuit : motion du conseil municipal

Le maire Jean-Louis Denoit a exposé au conseil municipal que l'Association de la défense de la gare d'Assier et de promotion du rail a envoyé un courrier le 27 octobre 2017 pour alerter d'une nouvelle menace sur le train Intercités de nuit Paris...
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sur www.ladepeche.fr

 

19 décembre 2017

Question orale du député Vincent Rolland sur les trains de nuit Paris-Savoie

M. le président. La parole est à M. Vincent Rolland, pour exposer sa question, no 43, relative à l’offre de mobilité ferroviaire et aux trains de nuit.

M. Vincent Rolland. Monsieur le président, monsieur le secrétaire d’État, ma question est simple : quid de la SNCF dans nos territoires de montagne ?

Depuis quelques années, nous déplorons la baisse progressive des liaisons régulières entre Paris et les villes moyennes de France. En Savoie, cette année encore, depuis le 10 décembre, deux liaisons ont été supprimées. Ces suppressions s’ajoutent à celle de 2016, et font suite à la suppression des trains de nuit entre Paris et Bourg-Saint-Maurice, pour – nous dit-on – des raisons tenant à leur manque de rentabilité. Ces trains ont pourtant rendu de précieux services pendant des années à des générations successives, à qui ils ont permis d’accéder aux sports d’hiver dans des conditions financières plutôt abordables par rapport au TGV.

Dans le même temps, il est vrai, l’offre de transport par car a été développée, mais la filiale de la SNCF Ouibus est grandement déficitaire : ses pertes égalent son chiffre d’affaires ! Que dire en outre des infrastructures immobilières ? À Aime, par exemple, en Tarentaise, au pied du domaine skiable mondialement connu de La Plagne, la gare – en pleine saison touristique – n’assure aucun accueil. Du lundi soir au vendredi matin, les clients trouvent porte close : aucun agent, aucun service !

Ma question est simple, monsieur le ministre : quelle est la position du Gouvernement concernant l’offre de mobilité ferroviaire pour les habitants de tous les territoires ? Pourrait-on envisager de relancer un train de nuit modernisé et redynamisé ? Cette solution serait à la fois écologique et bénéfique au développement des territoires ruraux.

M. le président. La parole est à M. le secrétaire d’État auprès du ministre d’État, ministre de la transition écologique et solidaire.

M. Sébastien Lecornu, secrétaire d’État auprès du ministre d’État, ministre de la transition écologique et solidaire. Monsieur le député, je vous prie d’excuser Élisabeth Borne, ministre des transports, pour son absence. Je me charge de vous faire part de la réponse qu’elle apporte à votre question.

Vous interpellez le Gouvernement sur les offres de mobilité pour les territoires de montagne, notamment la Savoie, ainsi que sur la relance des trains de nuit.

S’agissant de la desserte de la Savoie, les liaisons TGV sur l’axe Annecy-Chambéry-Paris, dont je rappelle qu’elles relèvent de la liberté de gestion de l’établissement public SNCF Mobilités, ont en effet évolué le 10 décembre avec le nouveau service annuel. Ainsi, le TGV Annecy-Paris via Chambéry de 5h31 a été supprimé, car son taux de remplissage s’avérait largement inférieur à 50 %. Le TGV Paris-Annecy du dimanche à 7h49 est lui aussi supprimé.

Ces modifications n’affectent toutefois pas l’offre en semaine, qui reste, elle, stable. Leur impact sur les voyageurs professionnels sera donc très limité. Par ailleurs, SNCF Mobilités a naturellement mis en place des alternatives ferroviaires en correspondance via Aix-les-Bains et Lyon Part-Dieu.

S’agissant des trains de nuit, l’offre est désormais recentrée sur deux lignes, Paris-Briançon et Paris-Rodez-Latour-de-Carol, répondant à une préoccupation d’aménagement équilibré du territoire. Les autres lignes ne sont aujourd’hui plus exploitées, en raison non seulement de leur déficit, mais aussi de la desserte des territoires concernés par des offres alternatives de transport de bon niveau – vous avez mentionné l’une de ces offres.

Plus globalement, le Gouvernement entend se doter d’une stratégie forte pour le secteur ferroviaire à l’heure où les nouveaux usages de la mobilité se développent rapidement et bouleversent son modèle, déjà affecté – nous le savons tous – par une dette colossale. C’est le sens de la mission de concertation menée actuellement par Jean-Cyril Spinetta pour refonder ce modèle, dans le cadre d’un marché bientôt ouvert à la concurrence, tout en préservant les missions d’un service public performant.

Les conclusions de cette mission sont attendues pour fin janvier et permettront d’alimenter la future loi d’orientation sur les mobilités, qui devra nous permettre de réfléchir collectivement aux solutions de mobilité les plus pertinentes pour tous nos concitoyens, dans tous les territoires.

Mme la ministre des transports m’a demandé en outre de vous assurer de sa disponibilité sur cette question.

M. le président. La parole est à M. Vincent Rolland.

M. Vincent Rolland. Je serais heureux de pouvoir échanger avec elle à ce sujet, si possible au début de l’année 2018.

Permettez-moi de revenir un instant sur la question du train de nuit. La raison principale de l’arrêt de la ligne Paris-Bourg-Saint-Maurice tient à son manque de rentabilité. Mais il faut savoir que ce train n’a fait l’objet d’aucune communication, d’aucune promotion. Vous connaissez l’adage : « Qui veut noyer son chien, l’accuse de la rage. » D’une certaine manière, on a laissé mourir petit à petit ce train.

Je suis pourtant convaincu qu’il existe – pour peu que l’on daigne s’en préoccuper – un marché pour ce genre de train : cette offre intéresserait notamment les étudiants et les jeunes actifs, gens peu fortunés à qui il est difficile de s’acquitter du prix élevé des billets de TGV aux heures de pointe. Je demande donc de réexaminer tout cela : c’est ce que je dirai très prochainement à Mme la ministre des transports.
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sur www.assemblee-nationale.fr

 

19 décembre 2017

Hautes-Alpes : le député PRG Joël Giraud interpelle Guillaume Pepy, le président de la SNCF

Hautes-Alpes : le député PRG Joël Giraud interpelle Guillaume Pepy, le président de la SNCF

Réélu en 2017 avec la double investiture Parti Radical de Gauche / La République en Marche, le député Joël Giraud vient d'adresser une lettre au président de la SNCF pour dénoncer "les dysfonctionnements réguliers de la ligne du train de nuit Paris/Briançon
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sur france3-regions.francetvinfo.fr

 

19 décembre 2017

Le député Giraud interpelle le président de la SNCF

Le député Giraud interpelle le président de la SNCF

Les dysfonctionnements réguliers de la ligne du train de nuit Paris-Briançon, le député Joël Giraud semble en avoir fait son cheval de bataille et ne compte pas lâcher la bride de sitôt
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sur www.ledauphine.com

 

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